Un jeu ludique avec Google Streetview comme support et oui cela existe : ça s’appelle Geoguessr.com. L’idée est simple, mais tellement bonne ! Le site, mis en ligne en avril, vous envoie dans une bulle de Google Streetview n’importe où sur Terre, à vous d’admirer le paysage comme il se doit, mais aussi et surtout de chercher le maximum d’indices qui vous permettront de placer correctement sur la carte le lieu dans lequel vous vous trouver. Plus vous êtes près plus vous gagnez de points.
Après avoir placé 5 bulles le verdict tombe et ce n’est pas toujours glorieux ! Surtout quand on se trompe de continent et que les lignes qui relient le point que l’on a placé au véritable emplacement traversent les océans ! Si à chaque fois vous arrivez à trouver au moins sur quel continent la bulle a été prise (croyez-moi ce n’est pas toujours facile) vous pouvez augmenter la difficulté ! Ajoutez-vous une limite de temps !
Microsoft a ouvert, il y a quelques jours, à tous son nouveau webmail : Outlook. Cette messagerie compte bien attirer le plus d’utilisateurs possible. Bien sûr Microsoft est dans l’optique de faire migrer vers le nouveau service sa solide base que sont les utilisateurs de Hotmail. Il faut savoir qu’Hotmail représente environ 400 millions d’utilisateurs. Gmail de Google comptabilise quant à lui environ 450 millions de comptes.
Microsoft n’a pas que d’ambition sur Hotmail pour faire grossir sa base d’utilisateurs, mais aussi sur son principal concurrent : Gmail. Ceci n’a rien de curieux. Le plus intéressant est la façon dont Outlook compte concurrencer Gmail. En effet au lieu de venter de nouvelles fonctionnalités, Microsoft attaque Google, sur le fait que le moteur de recherche utilise le contenu (il l’analyse en tout cas) de chaque mail afin de déterminer des publicités en rapport avec le mail que vous lisez. Ce n’est pas nouveau, Google à toujours fait cela afin de maximiser le taux de clic sur ces publicités. Une publicité Google déposée sur une page web implique systématiquement son analyse, c’est de la publicité contextuelle. Le point sur lequel Outlook essai d’appuyer est qu’un mail est le plus souvent (quand il ne se trouve pas dans le dossier Spam) à caractère personnel. Or Google en fait une analyse. Outlook garanti à ces utilisateurs la total privacité de leur mails alors que Google n’en donne pas le sentiment.
C’est donc par la peur de cet algorithme à publicité que Microsoft compte convaincre les utilisateurs de Gmail de rejoindre Outlook. L’opération marketing lancé par Microsoft est frontale à l’image du terme inventé par ses équipes : Scroogled un malin mélange entre le mot Screwed et Google que l’on peut aisément traduire par « Se faire avoir par Google« . Le site Scroogled.com regroupe tous les pics envoyer à Google. On y apprend que 88% des américains désapprouve le fait que leur mails soient scannés à des fins publicitaires, mais que malgré cela 71% ignore que Gmail analyse leur mail pour déployer des publicités ciblées.
Malgré toute cette énergie déployée le succès de cette campagne n’est pas à la hauteur des espérances. La pétition lancée à l’encontre de Google n’a recueillie que 75 000 signatures depuis le 6 février. Et pire la page Facebook lancée pour cette campagne ne comptabilise que 214 fans à l’heure où j’écris ces lignes.
Après avoir utilisé Twitter comme tremplin, Instagram se sépare du réseau social. Twitter contre-offensive.
Instagram a décidé de se passer de Twitter. En effet, jusqu’à maintenant, il était possible de visualiser les photos carrées d’Instagram directement sur Twitter. Il n’en est plus. Pourquoi ? Kevin Systrom se justifie en insistant sur le fait que son réseau social ait énormément évolué. Celui-ci ayant été racheté par Facebook en avril dernier. Ce rachat, ainsi que la présence de l’application sur les téléphones Androïd a fait croitre le nombre d’utilisateurs de façon affolante. Aujourd’hui Instagram compte plus de 100 millions d’utilisateurs. Le jeune fondateur dit vouloir «diriger les utilisateurs d’Instagram directement sur le site Instagram». Cela permettra de doper l’audience de sa plateforme sans passé par un service concurrent. D’autant plus qu’Instagram a fait en sorte que depuis début novembre les profils de ses utilisateurs soient disponibles directement depuis le web.
Le co-fondateur d’Instagram, Kevin Systrom, en marge de LeWeb 2012.
La dernière tendance d’Instagram n’est plus de partager des photographies de sa vie quotidienne mais plutôt, à la manière d’un tweet, d’apporter de l’information. C’est ainsi que lors de l’ouragan Sandy, plus de 10 photos par seconde en rapport avec l’événement étaient partagés sur le réseau social. Instagram est donc en passe de devenir un véritable vecteur d’information. L’utilisation par le Time Magazine d’une des photos capturée via Instagram durant Sandy pour illustrer sa Une en est le premier exemple. Cette tendance vient marcher sur les plates-bandes de Twitter qui s’est révélé être un formidable relayeur d’information.
Face à cette nouvelle concurrence qui se fait de plus en plus présente, Twitter a réagi en publiant une nouvelle version de son application pour smartphone. Celle-ci propose désormais la possibilité de partager ces photos avec un filtre. De la même manière que sur Instagram sans pour autant y mettre les pieds. Cela suffira t’il à contrer la nouvelle indépendance qu’a prit Instagram ? D’autant plus que Google vient de mettre son pied dans le plat en publiant Snapseed, une nouvelle application qui a pour but de concurrencer Instagram et maintenant l’option filtres de Twitter. La cyber-guerre des images ne vient donc que de commencer.
C’est déjà arrivé à chacun de ne pas savoir avec quel logiciel ouvrir un fichier ayant une extension inconnue. Ou même de ne pas savoir à quoi correspond une extension. Une image, une archive, une vidéo ?Ouvriravec.com nous propose de répondre à toutes ces questions. Avec plus de 800 extensions enregistrées nous allons pouvoir trouver en un instant comment ouvrir, avec quel logiciel, l’extension récalcitrante. De plus Ouvriravec propose uniquement d’ouvrir les extensions avec des logiciels gratuits et/ou libres.
Un site sympa à ajouter dans les favoris qui nous évitera de faire des recherches Google infructueuses.
Google Map Maker a été lancé en 2008 outre-Atlantique et c’est seulement en 2012, 4 ans après que le service d’amélioration par contribution de Google Maps et Google Earth arrive enfin en France. Cette nouveauté va permettre aux apprentis cartographes d’ajouter, de modifier ou de rectifier toutes sortes de détails des lieux où ils ont l’habitude d’aller. Après une approbation par d’autres utilisateurs de Map Maker la modification sera automatiquement ajoutée aux services Maps et Earth de Google. Google va ainsi pouvoir encore améliorer ces services à moindre fraie avec une grande précision.
Map Maker va sans doute faire quelques torts à OpenStreetMap.org, la carte mondiale libre de droits et communautaire, où l’on pouvait déjà ajouter nos contributions. À voir maintenant si vous préférez donner votre savoir à une multinationale cotée en bourse ou à une communauté dynamique qui cherche en aucun cas à faire du profit sur votre dos.
Google a lancé cette semaine un nouveau service appelé Google+. Google+ n’est pas un simple service de recherche comme Google sait très bien le faire rappelons que ce dernier a annoncé il y a quelques semaines que le site accueille désormais plus d’un milliard de visiteurs uniques par mois soit un septième de la planète (statistiques mondiales en temps réel) !
La firme basée en Californie s’est donc lancé cette semaine dans un nouveau projet de réseau social, même si celle-ci avait déjà tenté l’expérience à deux reprises avec Google Wave en 2009 et Google Buzz en 2010 ces deux services n’ont pas franchement fonctionné et à l’heure actuelle sont très peu utilisés. En 2011 c’est donc au tour de Google+ de faire son apparition. Google n’a apparemment plus envie de se « planter » dans un nouveau service social et n’a plutôt pas intérêt puisque vous le voyez Google mise tout sur Google+. Comment le voyez-vous ? Tout simplement avec le nouveau design que Google nous a fabriqué pour son moteur de recherche, pour Gmail ainsi que pour tous les autres services proposés, mais aussi il y a quelques semaines avec l’apparition du bouton +1 qui est maintenant présent partout sur la toile, je l’ai même intégré sur Toutestici.eu.
Notamment grâce au bouton +1 qui a été intégré partout sur le web, même maintenant dans les résultats de recherche, Google nous offre la possibilité de partager sur Google+ à partir de presque chaque page web que nous visitons. De plus ceux qui utilisent beaucoup les services Google tel que Gmail, Documents, Agenda ou Reader seront constamment tentés de faire un tour et partager sur Google+ grâce au nouveau design qui met en place une nouvelle barre de service comportant une option de partage.
Facebook de son côté doit être sur les dents puisque Google+ propose une toute nouvelle version de réseau social qui concurrence directement Facebook, avec des choses que Facebook ne propose pas directement. Facebook a opté d’accueillir des apps sur son réseau alors que, pour l’instant, Google+ propose lui-même tous les services. Mark Zuckerberg le fondateur de Facebook lui aussi teste Google+, il a créé son profil qui est disponible ici !
Je pense que Twitter, si Google+ prend de l’ampleur, sera moins affecté car sa simplicité aura toujours du succès. Je ne dis pas non plus que les utilisateurs de Facebook vont courir vers Google+ pour le déserter.
Google+ correspond parfaitement aux personnes réticentes envers Facebook à cause de sa confidentialité, etc et qui trouve que Twitter n’offre pas assez de services tels que l’hébergement de photos, etc.
Invitations :
Pour tous ceux qui veulent tester Google+, je peux vous inviter. Google+ est pour l’instant réservé aux personnes qui sont en possession d’une invitation, c’est comme cela que Google alimente le Buzz !
Pour ce faire, rien de plus simple, il suffit de laisser un commentaire sur cet article me le demandant avec une adresse e-mail valide dans le champ réservé à cet effet.
Cette nouveauté va permettre aux apprentis cartographes d’ajouter, de modifier ou de rectifier toutes sortes de détails des lieux où ils ont l’habitude d’aller. Après une approbation par d’autres utilisateurs de 
