Archives de catégorie : Internet

Geoguessr.com : Jouer avec Google Streeview !

Un jeu ludique avec Google Streetview comme support et oui cela existe : ça s’appelle Geoguessr.com. L’idée est simple, mais tellement bonne ! Le site, mis en ligne en avril, vous envoie dans une bulle de Google Streetview n’importe où sur Terre, à vous d’admirer le paysage comme il se doit, mais aussi et surtout de chercher le maximum d’indices qui vous permettront de placer correctement sur la carte le lieu dans lequel vous vous trouver. Plus vous êtes près plus vous gagnez de points.

Geoguessr.com

Après avoir placé 5 bulles le verdict tombe et ce n’est pas toujours glorieux ! Surtout quand on se trompe de continent et que les lignes qui relient le point que l’on a placé au véritable emplacement traversent les océans ! Si à chaque fois vous arrivez à trouver au moins sur quel continent la bulle a été prise (croyez-moi ce n’est pas toujours facile) vous pouvez augmenter la difficulté ! Ajoutez-vous une limite de temps !

Geoguessr.com map

La vérité sur les poneys

Le phénomène a envahi le web en 2011 après la sortie de la série américano-canadienne My little pony en octobre 2010. Un succès inattendu pour cette série d’animation dont Twilight Sparkle (une licorne) est l’héroïne. À l’origine destinée pour un public de jeunes filles, ce sont des hommes d’une moyenne d’âge plutôt élevé pour une série de licorne colorée qui a fait son succès.

La vérité sur les poneys

Deux ans après le début du phénomène Three, un opérateur britannique, lance une chouette publicité virale qui relève au monde la vérité sur les poneys. Je vous laisse découvrir.

Un qui spot ROX DU PONEY !! On peut le dire !!

En fond sonore : Everywhere de Fleetwood Mac.

Apprendre la programmation à l’école : Bill Gates, Mark Zuckerberg (…) disent OUI

Apprendre le code à l’école comme on apprend une langue voilà la proposition des plus grands dirigeants d’entreprises informatiques américaines. Bill Gates, Mark Zuckerberg, Jack Dorsay aimeraient que les écoles américaines inscrivent la programmation à leurs programmes. Un travail de lobbying commence donc. Pour commencer ce travail, une vidéo soigneusement intitulé «What most schools don’t teach» (Ce que les écoles n’enseignent pas), dans laquelle les dirigeants commentent leur premier contact avec le code.

C’est en tout une soixantaine de personnalités qui témoignent. L’ONG Code.org créée pour l’occasion a pour but de promouvoir la programmation. Apprendre le code n’est pas une chose aisée, mais pas si difficile que ce que l’on peut imaginer. Le second but est de créer une base de données répertoriant toutes les écoles proposant un enseignement de la programmation.

Tous ces efforts de promotion ont pour but de répondre, tout simplement, au manque de diplômés dans ce domaine. « Chaque année aux Etats-Unis, il y a 120 000 demandes d’emploi dans le domaine de l’informatique », affirme l’ancien président américain, Bill Clinton. Ces exemples de réussite susciteront sans doute quelques vocations.

Kim Dotcom et ses Mega problèmes

Kim Schmitz de son vrai nom (alias Dotcom) triste père du défunt Mégaupload, prépare sa vengeance : Mega. Après avoir annoncé le lancement de son nouveau site pour la date anniversaire de son arrestation et de la saisie par les Etats-Unis de Megaupload, soit le 19 janvier 2013, Kim Dotcom se trouve confronté à plusieurs dilemmes !

Tout d’abord son nom de domaine Me.ga annoncé fièrement dans son tweet a été suspendu par la ministre de le communication et de l’économie numérique du Gabon. Le .ga dépendant du Gabon. Déclarant que « Le Gabon ne peut servir de plateforme ou d’écran dans la commission d’actes qui viseraient à violer les droits d’auteur en général, ni être instrumentalisé par des personnes peu scrupuleuses » Me.ga n’est maintenant plus disponible. On peut dire que c’est un caviardage numérique d’un site pas encore publié. Mega n’est pas déclaré comme différent de Dropbox ou hubiC, un site de stockage en ligne.

Avant d’être mis hors service et quelques heures après l’annonce du Gabon un groupe de hackers nommé Ω (Ome.ga) ont pirater le site de Dotcom en effectuant une redirection vers leur compte Twitter. Le groupe, trouvant que Kim Dotcom n’est qu’un mégalomane (pas faux) à mettre au même niveau que la major Universal, menace de revendre le site à la major soit le pire ennemi de Kim Dotcom ! (source)

Kim, attaqué de tous les côtés accuse bien évidemment les Etats-Unis d’avoir influencé le Gabon, le pays africain exportant la moitié de sa production de pétrole au Etats-Unis.

Face à cela kim nous rassure et se rassure en nous annonçant qu’il a un autre nom de domaine sous le coude.

Même si la mise en place du nouveau Mega semble compliquer Dotcom est toujours plus ambitieux et ne manque pas d’idées. Il compte faire revivre le projet Pacific Fibre proposant la mise en place d’un câble sous-marin à fibre optique de 12 750 km reliant la cote ouest des Etats-Unis et la Nouvelle-Zélande.

Les services de Cloud sont sales !

Nous sommes de plus en plus à stocker nos données en ligne, dans le Cloud. Presque chaque grande firme d’internet propose son service « cloud », iCloud pour Apple et Google Drive, qui devrait sortir d’un jour à l’autre, pour Google, par exemple. Comme chacun sait ces données sont stocker dans d’immense data center qui sont énergivores, certain peuvent consommer jusqu’à l’équivalent de 250 000 foyers européens.

Greenpeace a, cette semaine, publié un rapport qui met en lumière la provenance de l’électricité fournissant en énergie les data centers d’Amazon, d’Apple, de Facebook, Google, Hp, Microsoft, Twitter, Yahoo et j’en passe. Le constat est simple : l’électricité provenant du charbon arrive en tête chez toutes ces entreprises qui sont censées être les plus innovantes de la planète, or le charbon n’est pas une énergie propre et donc non adapté à leurs images cool, propres et respectueuses de l’environnement quelles essaies de nous communiquer sans cesse.

Amazon, Microsoft et Apple sont dans la ligne de mire de Greenpeace qui considère que ces trois firmes « n’accordent pas suffisamment d’attention à la provenance de l’électricité qu’elles consomment » pour leurs services de Cloud computing.

Souvenez-vous en 2010, Greenpeace avait déjà dénoncé cette utilisation massive du charbon et avait convaincu Facebook de réduire sont approvisionnement en énergies fossiles pour ses data centers. Concrètement, cet accord à conduit à la construction d’un data center en Suède pouvant être entièrement alimenté par des énergies renouvelables.

Si vous vous sentez concerné par cette cause ou si vous aimeriez que vos services cloud deviennent plus propres, Greenpeace vous propose d’envoyer un mail aux dirigeants de Microsoft, Amazon et Apple afin que ceux-ci fassent le premier pas vers un cloud propre.

FlightRadar24 : suivre un avion en direct.

Il y a deux ans, je vous avais présenté le site CasperFlights.com qui permettait alors de suivre le trafic aérien de différents aéroports européens. Depuis, quelques sites du même genre ont vu le jour. FlightRadar24.com est l’un d’entre eux. Ce site n’est pas limité à quelques aéroports, il permet de suivre un avion à travers le monde, même si celui-ci disparait après avoir disparu des radars.

Comment cela fonctionne ?

Les avions et les informations les détaillant sont détectés par plus de 500 récepteurs ADS-B à travers le monde. Ces récepteurs peuvent appartenir à des particuliers, et chacun peut en acquérir. Les informations recueillies sont regroupées et sont affichées sur FlightRadar.

Des zones sans aucun avion sont présentes, cela veut dire que soit il n’y à pas de récepteurs, soit les avions ne possèdent pas de matériels ADS-B. Il faut savoir qu’environ 70% des avions en Europe possède cette technologie contre 30% aux États-Unis. 90% de l’Europe est couverte par FlightRadar d’où la grande concentration d’avions.

En cliquant sur les avions, vous pourrez voir toutes les informations les concernant, numéro de vol, modèle de l’avion, provenance, destination, altitude, vitesse… La recherche d’avion par numéro de vol est aussi disponible, un replay de son trajet est possible.

FlightRadar24 est aussi disponible sur votre iPhone, iPad en version gratuite ou payante (2,39€). La version payante vous propose la réalité augmentée, pour trouver les informations sur les avions qui passent au-dessus de votre tête en pointant simplement votre appareil pommé vers le ciel. De la même façon, l’application est disponible sur Android en version gratuite ou payante (1,79€). Le Mac App Store accueil également l’application, elle vous coutera 5,49€.